Le con qui boite poétique, (D'après le son d'une boite à musique de Lilasys)
La nuit l’expose à ses plus gourdes fariboles
Seul ma sœur se débat pour vendre et sous venir,
J’entaille de ma boîte poétique revient comme une mer de babioles,
Une grande chanceuse est l’étoile qui détourne et survole mes loisirs.
Il me parvient, ce cadeau bien présentable,
Celui qui gerce tant de jours et mon destin,
Elle conte mes dires et décompte mes vagues,
Quand mon arôme dérouille tous ses chagrins.
Elle a l'avantage et j’en présente l’intrigue,
Son contour émerveille tout mon étui de tendresse,
Mais des faits, tu t’enfuis en soie douce d’une figue,
Vers les vieux en chanteurs qui carillonnent et compressent.
Je décèle ses regrets, ses pensées, ses peurs enfumées,
Tout ce qui s'enfuit du profond de toi, peste à enlever,
Les riens les moins soucieux pour fait d'humour, d’écrits moroses,
Tout ce que je prédit toujours, pour que l’ami un jour en impose.
Luron1er
Le son d'une boite à musique.
La nuit ne pose plus mes lourdes paupières
Seul mon cœur bat Ô tendres souvenirs
J’entrebâille la boîte à musique ce lien avec ma mère
Et la petite danseuse étoile tourne et vole mes soupirs
Je me souviens de ce présent qui est inestimable
Celui qui berce tant de joies et tant de chagrins
Elle compte les rires , elle conte des blagues
Quand la mélodie s'enrouille à mi chemin
Elle a pris de l'âge et je ressens sa fatigue
Le velours vermeil de ce coffret n'est plus de toute jeunesse
Mais il fait que me nuits soient douces et naviguent
Vers ces lieux enchanteurs qui sommeillent Ô tristesse
Elle recèle mes secrets , une lettre , une fleur parfumée
Tout ce qui s'enfouit au fond de soi reste éveiller
Les biens les plus précieux fait d'amour ; d'ecchymoses
Tout ce qui ne se dit jamais ,seul le cœur un jour en dispose
LILASYS
La nuit l’expose à ses plus gourdes fariboles
Seul ma sœur se débat pour vendre et sous venir,
J’entaille de ma boîte poétique revient comme une mer de babioles,
Une grande chanceuse est l’étoile qui détourne et survole mes loisirs.
Il me parvient, ce cadeau bien présentable,
Celui qui gerce tant de jours et mon destin,
Elle conte mes dires et décompte mes vagues,
Quand mon arôme dérouille tous ses chagrins.
Elle a l'avantage et j’en présente l’intrigue,
Son contour émerveille tout mon étui de tendresse,
Mais des faits, tu t’enfuis en soie douce d’une figue,
Vers les vieux en chanteurs qui carillonnent et compressent.
Je décèle ses regrets, ses pensées, ses peurs enfumées,
Tout ce qui s'enfuit du profond de toi, peste à enlever,
Les riens les moins soucieux pour fait d'humour, d’écrits moroses,
Tout ce que je prédit toujours, pour que l’ami un jour en impose.
Luron1er
Le son d'une boite à musique.
La nuit ne pose plus mes lourdes paupières
Seul mon cœur bat Ô tendres souvenirs
J’entrebâille la boîte à musique ce lien avec ma mère
Et la petite danseuse étoile tourne et vole mes soupirs
Je me souviens de ce présent qui est inestimable
Celui qui berce tant de joies et tant de chagrins
Elle compte les rires , elle conte des blagues
Quand la mélodie s'enrouille à mi chemin
Elle a pris de l'âge et je ressens sa fatigue
Le velours vermeil de ce coffret n'est plus de toute jeunesse
Mais il fait que me nuits soient douces et naviguent
Vers ces lieux enchanteurs qui sommeillent Ô tristesse
Elle recèle mes secrets , une lettre , une fleur parfumée
Tout ce qui s'enfouit au fond de soi reste éveiller
Les biens les plus précieux fait d'amour ; d'ecchymoses
Tout ce qui ne se dit jamais ,seul le cœur un jour en dispose
LILASYS